Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

BIENVENUE SUR STEUCOM

 

VOUS ETES SUR LE BLOG DES BACS PRO DES METIERS DE LA VENTE, DU COMMERCE ET DES SERVICES DU LYCEE DES  METIERS STE CROIX ST EUVERTE

Recherche

LA PENSEE DU MOMENT

L'AVENIR N'EST JAMAIS QUE DU PRESENT A METTRE EN ORDRE. TU N'AS PAS A LE PREVOIR, MAIS A LE PERMETTRE.
                                                                                                                                                                           Antoine DE SAINT EXUPERY

Archives

5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 18:01

Ce mercredi 22 juin, les soldes d'été ont débuté, c'est 5 semaines de rabais jusqu'au 26 juillet que les consommateurs mettront à profit pour traquer les bonnes affaires. Pour tout savoir sur les soldes reportez vous à l'article des soldes d'hiver et sur  le site de la DCCRF.

Partager cet article
Repost0
7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 13:40

4396817923_cf980b0e2f.jpgChaque jour, en moyenne, 150 000 appareils sont achetés.

Le taux moyen d'équipements des foyers est de 6,5 gros appareils en moyenne (machine à laver, réfrigérateur, cuisinière...) et de 13 petits appareils (machines à café, grille pains, micro-ondes, robot...).

En 2009, il s'est vendu 1 380 000 tables de cuisson (l'induction représentant 1/3) pour un prix de vente compris entre 500 et 1200€.

3 400 000 aspirateurs et un taux d'équipement des ménages de 91 %. Le prix moyen  étant de 104 €.

Partager cet article
Repost0
30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 09:38

Du caddie à la poubelle : les Français sont plus sensibles aux emballages

 

   

 

Chaque Français jette en moyenne 391 kg d’ordures ménagères par an. Entre 1995 et 2007, le volume total a progressé de 39 %. Les emballages représentent environ un tiers de ces déchets. Un des objectifs de la politique nationale du « Plan d’actions sur les déchets », publié par le ministère du Développement Durable en septembre 2009, est de réduire de 7 % la production d’ordures ménagères par habitant d’ici 2014, en s’appuyant notamment sur le principe que « le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas ».

 

> Des consommateurs plus attentifs à la quantité de déchets dès l’acte d’achat

Malgré la crise économique, les préoccupations écologiques ne faiblissent pas : 86 % des Français se disent aujourd’hui sensibles à l’environnement. Pourtant, plusieurs travaux ont montré que les bonnes intentions visant à mieux protéger la planète tardent à se concrétiser dans les modes de vie. L’investigation menée par le CRÉDOC pour l’ADEME révèle que, au-delà des progrès réalisés en matière de tri des déchets, une attention nouvelle est portée aux emballages. Format familial ou doses individuelles, sur-emballages inutiles, conditionnements « gadgets », plus d’un Français sur deux regarde d’un oeil plus exercé (52 %) les emballages des produits qu’ils achètent et en tiennent davantage compte dans leurs choix. Ils n’étaient que 41 % dans ce cas il y a sept ans. Mieux, la part des consommateurs totalement insensibles à ces questions est en forte diminution (de 35 % à 21 %).

voir l'enquête complète sur www.credoc.fr

Partager cet article
Repost0
30 novembre 2010 2 30 /11 /novembre /2010 09:17

 

I. Définition des soldes

Les soldes présentent les caractéristiques suivantes :

- ils sont accompagnés ou précédés de publicité ;

- ils favorisent un écoulement accéléré de marchandises en stock, payées et dont des exemplaires ont été proposés à la vente depuis au moins 1 mois ;

- ils comportent une annonce de réduction de prix (qui peut aller jusqu’à une revente à perte) dans la limite du stock à écouler ;

- ils sont pratiqués pendant des périodes fixes (soldes d’été et d’hiver) ainsi que pendant des périodes complémentaires librement choisies par les commerçants (cf. III).

Les rabais annoncés à l’occasion des soldes doivent être conformes aux dispositions de l’arrêté
du 31 décembre 2008 relatif aux annonces de réduction de prix à l’égard du consommateur. Ainsi, l’importance de la remise indiquée, soit en valeur absolue, soit en pourcentage, doit être calculée par rapport à un prix de référence, qui ne peut excéder le prix le plus bas effectivement pratiqué au cours des trente derniers jours précédant le début de la période des soldes. L’annonceur peut également utiliser comme prix de référence le prix conseillé par le fabricant ou l’importateur du produit sous réserve que ce prix soit couramment pratiqué par les autres distributeurs. Les rabais qui ne seraient pas conformes à ces dispositions peuvent aussi être sanctionnés sur la base de l’interdiction de la publicité mensongère (article L. 121-1 du code de la consommation).

Garanties : les articles achetés en soldes doivent bénéficier des même garanties que les autres articles. L’annonce « ni repris ni échangé » ne dispense donc pas le vendeur d’échanger ou de rembourser l’article en cas de vice caché (article 1641 du Code civil). A l’inverse, si les imperfections ou malfaçons sont aisément détectables par le consommateur, l’article 1641 du Code de civil ne peut pas s’appliquer.

 

II. Dates des soldes

Les soldes saisonniers (soldes d’été et d’hiver) durent 5 semaines et commencent chaque année aux dates fixées à l'article D. 310-15-2 du code de commerce depuis l’entrée en application de la loi de modernisation de l’économie du 4 août 2008.

Les soldes d’hiver débutent ainsi à 8 heures du matin le deuxième mercredi du mois de janvier, sauf si celui-ci tombe après le 12, auquel cas les soldes débutent le premier mercredi de janvier.

Quant aux soldes d’été, ils débutent à 8 heures du matin le dernier mercredi de juin, sauf si celui-ci tombe après le 28, auquel cas les soldes débutent l’avant-dernier mercredi de juin*.

Pour 2011, les soldes d’hiver commenceront donc le mercredi 12 janvier 2011 et prendront fin le mardi 15 février 2011. Les soldes d’été commenceront le mercredi 22 juin 2011 et prendront fin le mardi 26 juillet 2011.

(source DGCCRF)

 

Partager cet article
Repost0
18 novembre 2010 4 18 /11 /novembre /2010 11:22

5154679489_b405357158.jpgLes catalogues distribués depuis début octobre, Juste avant les vacances de la TOUSSAINT les jouets ont été installés dans les allées des magasins de la grande distribution et les spécialistes ont achanlandé leurs stocks pour cette fin d'année ô combien importante pour ces enseignes.

Selon une étude annuelle du cabinet DELOITTE, les Français prévoient de dépenser 605 euros en moyenne tot compris pour les fêtes de fin d'année , c'est 4.4% de moins que l'année dernière. Pour la partie cadeau c'est 4.9 % de moins. malgré tout  le budget jouet ne devrait pas trop patir de cette baisse car les Français choisissent de  ne pas réduire le budget réservé aux enfants mais plutôt se restreindre sur les autres dépenses. Le budget jouet restera donc quasi stable à 218 euros en moyenne par famille (- 1 euro par rapport à l'an dernier). Pour savoir si la tendance est avéré il faut en général attendre le  dernier samedi du mois de njovembre pour dire que Noël est lancé. Cette année les distributeurs ont bénéficié du pont du 11 novembre et du démarrage des campagnes publicitaires à la télévision par les fabricants beaucoup plus tôt. Les acheteurs semblent avoir anticipé leurs achats de peur de ne plus avoir le choix du cadeau que l'enfant souhaite, d'ailleurs certains jouets sont en rupture et difficile à trouver compter tenu de leur succés comme la toupie BEYBLADE. Cette année  les jouets DORA, TOY STORY 3, CARS, RAIPONCE ont la côt et les valeurs sures figureront encore parmi les meilleures ventes : Barbie, Playmobil et les jeux de société nouveaux et surtout indémodables qui représentent 15 % des ventes. En janvier nous saurons qu'elle aura été la réalité commerciale de NOEL 2010.

Partager cet article
Repost0
21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 14:22
Le commerce équitable reste moins connu que le bio
(56% versus 76% pour le bio)

Seule une courte majorité de Français (56%) déclare savoir ce que sont les produits issus du commerce équitable, un chiffre qui n’a pas augmenté depuis notre dernière enquête à ce sujet en 2008.  A titre de comparaison, les produits bio, dont la visibilité et la disponibilité en magasins a fortement augmenté au cours des dernières années, sont connus de 76% des Français, soit un écart de 20 points.

Notons aussi que là où la connaissance des produits bio s’est démocratisée - elle n’est plus l’apanage des cadres urbains très diplômés -, celle des produits commerce équitable reste majoritairement réservée :

  • aux catégories socioprofessionnelles aisées (69% des cadres versus 43% des ouvriers)
  • aux plus diplômés (74% des diplômés de l’enseignement supérieur versus 38% des sans diplômes)
  • aux urbains, voire aux parisiens (65% des habitants de l’agglomération parisienne versus 55% des agglomérations de moins de 2000 habitants)
  • et aux moins de 65 ans (autour de 60% versus 47% pour les plus de 65 ans).
Dans le détail, une connaissance très floue du commerce équitable,
même pour les acheteurs

Interrogés sur la clarté de différentes informations concernant le commerce équitable, les Français sont une large majorité à admettre qu’elles leur semblent très ou plutôt floues :

  • le type de produits concernés (flou pour 54% des Français)
  • les garanties apportées par les labels (64%)
  • le fonctionnement de la filière équitable (68%)
  • la part du prix payé par le consommateur qui revient au producteur (75%)
  • la différence entre les labels (75%).

Ces résultats témoignent d’un réel déficit d’informations, qui, plus surprenant, est relativement partagé par les acheteurs réguliers de produits équitables : 51% d’entre eux ont une connaissance floue des garanties apportées par les labels, 56% du fonctionnement de la filière et même 70% de la différence entre les labels et 72% de la part du prix payé qui revient au producteur.

In fine, les acheteurs semblent surtout avoir davantage de connaissances pratiques que les autres : sur les types de produits concernés par le commerce équitable (63% versus 35% en moyenne) et  sur la facilité à identifier un produit commerce équitable (73% des acheteurs réguliers jugent facile d’identifier un produit équitable versus 48% en moyenne).

L’achat, un acte occasionnel :
seuls 22 % des Français déclarent acheter équitable régulièrement

2 Français sur 3 ont déjà acheté un produit issu du commerce équitable mais seulement 1 sur 5 (22%) déclare le faire régulièrement (chaque semaine ou chaque mois). Ils ne sont plus que 8% à déclarer acheter équitable chaque semaine. La consommation de produits équitables relève donc davantage de l’exception que du quotidien.

Elle reste par ailleurs davantage le fait des catégories socioculturelles et économiques aisées (85% des cadres ont déjà acheté équitable versus 49% des ouvriers, 81% des diplômés de l’enseignement supérieur versus 49% des sans diplômes), mais également des sympathisants de gauche (71% versus 57% à droite).

Freins à l’achat : cherté (34%), manque de réflexe (28%),
mais aussi doute sur l’utilité réelle du commerce équitable (22%)

Les 3 principaux freins à l’achat de produits issus du commerce équitable avancés par les Français sont :

  • le prix (34%)
  • le fait de ne pas y faire attention lors des courses (28%)
  • le doute sur l’aide réellement apportée aux petits producteurs (22%), surtout pour les acheteurs occasionnels (28%, 3e frein) mais également pour les acheteurs réguliers (23%, 3e frein également).

La cherté des produits (perçus comme tels à tort ou à raison) et le doute sur l’aide apportée sont deux éléments qui se répondent en cela qu’ils témoignent du calcul efforts / bénéfices que fait le consommateur : cela vaut-il le coup d’acheter plus cher s’il n’y a pas vraiment d’impact pour les petits producteurs ?

Le fait de ne pas y prêter attention lorsqu’on fait ses courses résulte principalement du manque de communication / information autour de ces produits, en tout cas par rapport aux autres.

Les facteurs de distribution (gamme trop réduite, difficulté à repérer les produits) n’arrivent que dans un second temps et sont principalement cités par les acheteurs réguliers (28% jugent que le manque de types de produits équitables freine leurs achats équitables versus 14% en moyenne).

Notons également que la qualité des produits n’est pas remise en cause (cité par seulement 3% des Français comme un frein à l’achat).

Partager cet article
Repost0
15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 13:31

4338539617_ab09238d89.jpg95 % des 16-17 ans disposent d'un téléphone portable contre 91,8 % pour l'nesemble des Français selon une enquête de TNS SOFRES. Mais les plus jeunes ne sont pas en reste : 76 % des 14/15 et 49 % des 1213 en sont également équipés.
73 % des jeunes possédent leur propre téléphone, 47 % l'utilisent en classe dont 29¨% de collégiens et  58 % de lycéens, d'ailleurs 54 % ont déjà reçu des appels en classe. 8 % ont déjà filmé une bagarre et 8 % disent avoir reçu des vidéos ou des photos violentes ou choquantes sur leur mobile.
Le mobile pour eux, c'est échanger des photos, écouter de la musique et surtout envoyer des message à totue heure, y compris pendant les cours. Ils se disent pourtant conscients des dangers et des dérives mais passent souvent outre les recommandations. Ils savent qu'il vaut miuex utiliser une oreillette, éviter de téléphoner longuement dans le train ou en voiture ou de dormir le protable sous l'oreiller. Les réglements intérieurs des établissements scolaires prohibent déjà l'usage du portable en classe mais un sondage vient de révéler que cette régle était peu respectée.

Le Sénat a été très ferme dans le projet de loi sur le grenelle 2 "dans les écoles maternelles, élèmentaires et les colléges, l'utilisation par un élève d'un téléphone portable est interdite". un amendement stipulant que les élèves pourraient toujours en faire usage dans la cour de récréation a été repoussé.
Le Sénat a par ailleurs adopté l'interdiction de commercialisation de téléphones protables spécialement conçus pour les moins de 14 ans. L'équipement des protables en kit mains libres ou oreillettes qui limitent l'exposition du cerveau aux ondes sera obligatoire.
Scientifiquement, le danger du portable n'est pas encore prouvé à ce jour, mais comme toujours le principe de précaution doit s'imposer.

Que faire en cas de vol de portable ?
Contacter immédiatement le service client de votre opérateur, accessible 24h/24 par téléphone ou sur son site internet, il suspendra la ligne.
Ensuite déposer plainte au commissariat ou le gendarmerie le plus proche et indiquer le numéro IMEI de votre mobile (chaque mobile en a un) à demander à votre opérateur. La bonne précaution est de le noter "quelque part" mais pas sur soi.

Partager cet article
Repost0
8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 10:34

soldes.jpgC'est la  1ère période de soldes de l'année qui a commencé ce mercredi 06 janvier à 8h, et pour 5 semaines Les soldes présentent des avantages pour les commerçants qui peuvent ainsi écouler rapidement leurs stocks qu'ils n'ont pu vendre durant la saison, et pour les consommateurs qui bénéficient de réductions de prix souvent intéressantes.
Les soldes sont réglementés : une définition précise et une durée encadrée. 
 
La nouveauté de la réglementation est de permettre des soldes "flottants" en dehors des 2 périodes fixes d'ailleurs certains commerces ont déjà utilisés cette possibilité depuis janvier .
De plus c'est le seul moment où un commerçant peut vendre à perte.

La définition des soldes

Les soldes sont des ventes qui, d'une part, sont accompagnées ou précédées de publicité et sont annoncées comme tendant, par une réduction de prix, à l'écoulement accéléré de marchandises en stock et qui, d'autre part, ont lieu durant les périodes définies, pour l'année civile, comme suit :

- fixation de dates nationales pour les soldes d’hiver et d’été avec la possibilité de dérogation pour certaines zones touristiques ou frontalières, la durée maximale de chaque période de soldes étant ramenée à cinq semaines (les dates de soldes étaient fixées antérieurement au niveau de chaque département et la durée maximale de chaque période était de six semaines) ;

- création de deux semaines complémentaires de soldes choisies librement par les commerçants, qui sont tenus simplement de déclarer auprès du Préfet la période de deux semaines ou les deux périodes d’une semaine choisies chaque année ; les soldes complémentaires ne pourront cependant pas avoir lieu pendant le mois précédant les périodes de soldes d’été et d’hiver.

La modification de la définition des soldes a pour conséquence d’autoriser les commerçants à pratiquer des annonces de réduction de prix pour déstockage toute l’année. Ces opérations commerciales étaient auparavant qualifiables de soldes hors périodes et sanctionnables à ce titre.

En revanche, les produits annoncés comme soldés doivent toujours avoir été proposés à la vente et payés depuis au moins un mois à la date de début de la période de soldes considérée.

 

Quelques précisions importantes

Les limitations de garanties sur les soldes sont illégales. Un article soldé bénéficie des mêmes garanties en matière de défauts de fabrication non apparents ou de service après-vente que tout autre article. En cas de vice caché, le vendeur est tenu de remplacer l’article ou de le rembourser. S’il n’y a pas de vice caché, le commerçant n’est pas tenu juridiquement de le faire, mais il peut le faire à titre commercial.

En tout état de cause, le commerçant est tenu d’appliquer toute disposition relative à l’échange ou au remboursement dont il fait la publicité, soit sous forme d’affichage dans le magasin, soit mentionnée sur les tickets de caisse ou sur d’autres supports ; sinon, il est passible du délit de publicité trompeuse.

Enfin, dans un magasin, la distinction entre les articles soldés et non soldés doit clairement apparaître aux yeux des consommateurs.

source Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes site DGCCRF dans nos liens

Partager cet article
Repost0
14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 21:45
Ce mercredi 14 octobre les 9 syndicats professionnels de la restauration étaient convoqués par la ministre de l'économie christine LAGARDE et le secretaire d'état à la consommation Hervé NOVELLI pour faire le point sur les conséquences de la baisse de la TVA dans la restauration sur la baisse des prix. Pas de surprises ce que l'on avait observé durant l'été et dès la rentrée de septembre moins d' 1 restaurateur sur 2 avait appliqué une baisse et pour ceux qui l'avaient fait on constatait en moyenne autour d'une baisse de 2.5 %. Les ministres ne sont donc pas contents mais qu'attendaient-ils donc à moins d'être idiots ou incompétents, une baisse générale grâce aux bonnes intentions, alors qu'aucun cadre précis n'était là pour faire en sorte que ces bonnes intentions affichées deviennent réalité.
Avant de tenter diverses explications il serait bon de revenir à l'origine de la baisse de la TVA et comment elle devait être traduite dans les faits sur l'addition du consommateur.

Les restaurateurs français se plaignaient il y a plus d'une dizaine d'année de ne pas avoir des prix compétitifs face aux sandwicheries, fast-food et autres ventes à emporter qui bénéficiaient d'une TVA réduite de 5.5 % alors que les clients des restaurants devaient acquitter d'une TVA à 19,6%. Selon eux, cette TVA détournait les consommateurs de leurs établissements. De plus, trouver du personnel en restauration  devenait compliqué compte tenu des horaires du travail de week-end de soirée et du SMIC hotelier inférieur au SMIC normal.
Qu'à cela ne tienne le candidat Jacques CHIRAC leur fit la promesse de la baisse de TVA s'il était élu ; une fois élu celui-ci expliqua que cela n'était possible à cause de l'EUROPE. Mais on insista et même sous l'ère CHIRAC une réunion eu lieu au sommet de l'Etat avec les représentants des salariés et des restaurateurs pour se mettre d'accord. Un accord fut signé au cas où cette baisse interviendrait  : 1/3 irait à la réévaluation des salaires de la profession, 1/3 à l'investissement et le dernier 1/3 à la baisse des prix pour appater le client.
Au final, au fil des années et à force de lobbying, cette baisse fut obtenue à BRUXELLES en début d'année 2009,
mais oubliés les accords, alors que les prix auraient dû baisser d'1/3, les consommateurs n'ont pas vu la baisse ou si peu.
Simple rappel : La TVA n'est pas une taxe prise aux restaurateurs ou aux entreprises, La TVA s'est uniquement le consommateur final qui la paie, les intermédiaires ne sont que les percepteurs de cet impôt indirect perçu par l'Etat.

Donc dans notre cas, la TVA baissait de presque 15 %, et on ne demandait aux restaurateurs de ne répercuter sur leur prix qu'une baisse de 5%. Donc sur un repas de 20 Euros TTC, le repas  avec la nouvelle taxe  ne coute que 17 euros TTC et le consommateur naurait dû payer que 19 euros TTC où sont passés les 3 Euros que l'Etat ne perçoit plus et laisse au restaurateur. Et bien dans la poche du restaurateur bien sur qui nous expliquera au journal télévisé que les temps sont durs que la restauration a perdu cette année 20% de son Chiffre d'affaires que cela compense, que l'on a pas licencié un salarié ou 2, etc... Alors que si cette baisse avait effectivement été suivie d'effets ce n'est pas 6000 emplois qui auraient été créés mais bien plus et la restauration ne verrait pas ses clients se faire plus rares qui ont bien compris "quels dindons de la farce" ils étaient.
Mais s'il avait fallu la verser cette TVA , du coup des milliards qui ne rentrent pas dans les caisses de l'Etat, celui-ci n'aurait que faire de ces raisons.
Une fois de plus l'ETHIQUE dans le commerce ne se décrete pas, madame monsieur les ministres elle s'impose !
Les professionnels ont 2 mois pour faire baisser effectivement leur prix sous quelle peine ? un retour à 19,6% peu de chance !
Partager cet article
Repost0
12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 13:05
TNS SOFRES nous dévoile les résultats de son baromètre e-commerce 2009, qui analyse le profil et les comportements des internautes et acheteurs en ligne .
Le e-commerce ne connait pas d'essouflement : le nombre d'e-acheteurs a progresssé de 7 % et concerne désormais 20.7 millions de Français de 18 ans et plus.
2009 apparait également comme une année charnière pour le web mobile : 12 % des Français se sont connectés à  l'internet mobile au cours des 6 derniers mois, un phénomène lié au succés rencontré par les smartphones (et notamment l'iphone) ainsi qu'au developpement des forfaits intégrant l'internet mobile illimité.

Les principaux enseignements de l'enquête :
- près d'1 Français sur 2 achète en ligne
- les plus fortes progressions de l'e-achat sont enregistrées auprès des seniors et des personnes au revenu modeste
- un média d'information qui continue à progresser : près de 70 % des internautes utilisent internet comme source d'information pour un achat final en magasin
- internet est un média ancré dans la vie quotidienne : il est utilisé pour communiquer via les emails, chats ou sites de réseaux communautaires mais aussi pour les démarches quotidiennes (banque, démarches administratives).
Partager cet article
Repost0